Guérie d'un trouble cardiaque

Tout a commencé le dimanche 27 mai 2001 dans l’après-midi.
Je ne me sentais pas bien, j’avais des douleurs dans la poitrine, j’étais oppressé.
J’ai alors appelé mon médecin, elle m’a dit que c’était dû à l’angoisse car je devais être opéré des amygdales le lendemain.
Le mardi soir, je suis entré en clinique pour l’intervention et j’étais dans la paix, confiant que Dieu veillait sur moi.
Je me suis fait opérer, tout s’est bien déroulé, à part la forte douleur à la gorge. J’avais très mal mais le Seigneur me soutenait dans ces moments difficiles.
 
Je suis sorti le samedi matin, j’avais beaucoup de difficulté pour marcher, et je ressentais une violente compression dans la poitrine.
En arrivant à la maison, j’ai appelé mon médecin, elle m’a ausculté et ne trouvait rien d’anormal, mais pour plus de sécurité je suis allé aux services des Urgences de Mont-de-Marsan, c’est un contrôle de routine par rapport à mon âge.
J’ai passé différents examens dans ce service et il a été diagnostiqué une angine de poitrine et j’ai été admis en soins intensifs.
Quand le médecin a terminé les examens, il m’a dit que j’aurai pu rester sur la table d’opération. Le Seigneur m’avait gardé durant l’opération. Le médecin me fit injecter des produits pour dilater les artères ; cela provoqua de violents maux de tête. Les calmants prescrits ne donnaient pas de résultats et il était difficile de me soulager vu mon état.
Dans la nuit du mardi au mercredi, vers trois heure du matin j’ai fait une hémorragie. La plaie de la gorge s’était ouverte ; j’ai appeler les médecins qui ne purent rien faire, à part conseiller de sucer des glaçons. Les piqûres qui avaient permis de fluidifier le sang avaient provoquées l’hémorragie. Je crachais des caillots de sang gros comme un œuf et vers neuf heures, la situation était toujours la même.
Les médecins sont passés, avouant leur impuissance et la solution de sucer les glaçons… vers midi, étant toujours au même point, les médecins inquiets ont appeler un O.R.L, qui ne pouvait également rien faire au vu du problème cardiaque ; le risque était vraiment trop important.
Cinq minutes après, je sentais la présence de Dieu près de moi et le Saint-Esprit me disait :  » Jésus a guéri la femme à la perte de sang  » . Saisissant par la foi cette réalité je faisais cette prière :  » Les hommes ne peuvent rien faire, mais toi seul tu peux me guérir, je crie à toi Seigneur, je m’abandonne à Toi  » .
Vers quatorze heure l’hémorragie cessait, c’était fini, le Seigneur m’avait guéri.
J’avais rempli trois demi petite bassine de caillots de sang.
Mon épouse étant arrivée, je lui expliquait tout ce qui m’était arrivé, que le Seigneur m’avait guéri.
Huit jours après il fut réalisé une coronographie et il fut détecter plusieurs lésions aux niveaux des coronaires dont une placée derrière le cœur. Le médecin décida d’envoyer une vidéo du cœur à un professeur de Bordeaux et je pus rentrer chez moi.
Dans la semaine qui suivit un chrétien me téléphona pour me demander des nouvelles et je lui racontais ce que Dieu avait fait. Tout de suite après, dans la salle de bain j’ai eu un malaise cardiaque. J’ai appelé mon épouse qui a immédiatement téléphoné au médecin qui arriva de toute urgence. J’étais assis sur la baignoire, incapable de bouger. Je n’avais plus de tension, mon cœur battait à 190. Le médecin m’a allongé et perfusé puis a appelé le SAMU et les pompiers.
J’avais mal à la poitrine, mais malgré cette douleur j’avais la paix profonde que Dieu communique quoi qu’il arrive.
Le SAMU et les pompiers étant arrivés, ils me prirent en charge et m’installaient dans le véhicule. Ils attendirent dix minutes avant de partir ; le médecin confiait à mon épouse que c’était vraiment très grave. Mon épouse téléphona à des chrétiennes et des chrétiens pour qu’ensemble ils prient pour moi.
Je suis parti à Mont-de-Marsan au service des Urgences, et pendant le trajet le visage du médecin du SAMU reflétait son inquiétude.
Arrivé aux urgences, ils me descendirent du véhicule. Plus rien et plus aucune douleur, la paix de Dieu en moi. Une heure après j’étais assis dans mon lit ; l’infirmière vint me voir et m’a dit que j’avais frôler la mort.
Puis mon épouse est arrivée, étonnée que je puisse être assis dans mon lit et je partageais avec elle cette réalité : je n’avais plus rien : le Seigneur m’avait guéri.
Merci Seigneur !
Éric

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